Une histoire « criminelle » sur les pas du crime, de la culpabilité et de la pénitence

Aujourd’hui, tout le monde est égal devant la loi, mais c’était loin d’être le cas lors des premiers siècles d’existence de Bruxelles. Citoyen ou non, pauvre ou riche, homme ou femme, la différence était énorme. À partir du 16e siècle, Bruxelles s’est progressivement développée comme capitale des Pays-Bas, un statut qui a attiré en son sein un nombre sans cesse croissant d’escrocs en tout genre, souvent attisés par l’appât du gain.

La contrefaçon était un crime grave, assorti d’une peine plutôt cruelle : l’immersion dans une marmite d’huile bouillante au beau milieu de la Grand-Place. De « Vroente – den amigo », situé à l’arrière de l’hôtel de ville, hébergeait vagabonds et ivrognes lors de l’Ancien Régime. Plus tard, ils purgeront leur peine dans des prisons.

Même de nos jours, le crime intrigue encore jeunes et moins jeunes... les séries criminelles continuent de captiver le grand public, et les évolutions récentes en matière de recherche de traces et d’ADN y sont pour quelque chose.

Le crime et le droit pénal de l’Ancien Régime jusqu’à maintenant et des histoires sur l’échafaud, le bourreau, la signification du pilori, les pèlerinages pénaux, le faux-monnayage, le banditisme, la sorcellerie, la corruption, la réforme de la police, les vagabonds, le paupérisme, les tsiganes, les juifs, les prostituées, les trafiquants d’êtres humains, les légendes urbaines… et bien plus encore !

Flagey, Muntpunt, Brussels Philharmonic, Korei Guided Tours