Deus Ex Machina
Dans le théâtre grec antique, “Deus ex machina” évoque un mécanisme qui fait apparaître spectaculairement le dieu sur scène. L’irruption des instruments électroniques dans l’histoire de la musique a créé une telle surprise et parfois, un tel trouble. Et cependant, la musique continue d’émouvoir et d’enchanter par la magie et la diversité des sons. Pour sa deuxième “carte blanche” au Brussels Jazz Festival, Jean-Paul Estiévenart a convié deux dieux de la musique électronique : Jozef Dumoulin et Bert Cools, de même que son percussionniste Antoine Pierre et le saxophoniste Bo Van Der Werf à partager un projet expérimental sans frontières.
Flagey
Au coeur même de la formule traditionnelle du quintet acoustique, il arrive à transformer ses pures mélodies en morceaux d’improvisation contemporaine., éclatant dans toutes les directions. Le résultat séduira tout autant les fans de jazz des années 50 et 60 que les amateurs de musique mélodique. Vers l’Avenir
Il sait comment tracer l’intersection entre jazz passé et present d’une manière purement acoustique. Jazzenzo
Estievenart, qui écrit toute la musique, laisse un large espace aux membres de son groupe. Mais à la fin, c’est lui qui fait la plus grande impression. Un trompettiste subtil, aux compositions robustes. De Standaard
Ceux qui pensent qu’il n’est question que d’harmonie et de mélodie seront déçus. L’improvisation joue un rôle central dans la musique de cet incroyable trompettiste belge. Jazz Nu